Vivre la parabole du Bon Samaritain dans un pays marqué par la violence : mission impossible ou la seule manière d’être des chrétiens ? Partant de la réalité du terrain Graig Bailie de l’ONG Portes Ouvertes nous donne quelques pistes.
Mgr Dabiré, président de la Conférence des évêques du Burkina – Niger, répond à nos questions. Il garde l’espérance tout en décrivant la situation difficile de
son pays.
Parcourant 3000 ans d’histoire, le pasteur René Léonian présente une nation martyre et nous invite, en s’appuyant sur le thème de la Semaine de prière, à participer à la résurrection de ce peuple aujourd’hui.
Le pasteur Alain Massini relit la parabole biblique du Bon Samaritain comme un débat entre deux courants rabbiniques, tout en mettant en exergue la nouveauté radicale du message du Christ.
Marie-Ange présente une aumônerie catholique et ses interactions œcuméniques, tout en témoignant d’une rencontre avec l’un de ses patients, Olivier.
Forte de sa riche expérience, la pasteure Nicole Fabre propose plusieurs manières d’accompagner les patients, s’appuyant à la fois sur l’Écriture et sur la rencontre avec l’Autre.
Le père Jean-Marie Onfray témoigne de l’importance de la rencontre gratuite, l’écoute patiente et la prière dans l’accompagnement des malades et des mourants.
Marie Struve, une orthodoxe dans une aumônerie catholique, témoigne de sa vocation et de ses visites, non seulement auprès de patients chrétiens, mais aussi musulmans ou juifs.
Devant l’inconnu, Costantino Fiore propose à l’aumônier de se laisser guider par les patients, tout en assumant son tâtonnement dans ces « véritables aventures spirituelles ».
omment exprimer l’inexprimable et désigner l’invisible ? Les personnes en soins palliatifs peuvent être également des sources de lumière dans les ténèbres de leurs souffrances. Brigitte Soullard Micheau en fait écho dans son texte et ses peintures.
